Catégories : Diaper boy / Little boy FANTASME Homme soumis, Femdom Domination féminine Femmes soumises sexuelles
Ce récit est la suite de : L’Entrepôt suite 3

Sandra passa une bonne nuit, épuisée par ses émotions de la journée. Jonathan, lui, dormit légèrement, en chien de fusil, sur le sol. Il faisait froid et il avait « la chair de poule ». Il avait envie d’uriner mais il n’osa pas déranger sa Maîtresse qui dormait encore.
Vers huit heures, c’est Anne qui pénétra dans la chambre sans faire de bruit. Elle regarda Jonathan et mit son doigt sur la bouche pour lui intimer de se taire. Elle s’approcha du lit et se pencha vers la tête de la dormeuse. Elle posa délicatement ses lèvres sur la bouche endormie et glissa sa langue chaude à l’intérieur. Sandra ouvrit un œil et engloutit la langue. Au bout de quelques minutes, Anne se retira et, avec un beau sourire, lui chuchota quelque chose à l’oreille. Jonathan les regardait. La jeune fille se retourna légèrement déplaça les draps pour faire apparaitre le bas du corps de Sandra. Elle posa ses mains sur les genoux pour écarter les jambes à l’équerre. La vulve, encore chaude et endormie, s’ouvrit comme une fleur et laissa apparaitre l’entrée du vagin.
Anne se pencha et prit aussitôt les nymphes dans sa bouche et suça avec avidité les lèvres rosées. Elle faisait aller et venir sa langue le long du clitoris et sur le méat urinaire. Jonathan remarqua qu’à un moment, la fille collait sa bouche sur le sexe et ne bougeait plus. Seules ses mains caressaient délicatement le ventre. Sandra gémit un peu, se cambra et urina dans la bouche de la lécheuse. Elle se lâcha complètement en envoyant de grands jets, aussitôt avalés par Anne qui déglutissait le plus vite possible pour ne rien perdre. Une fois le pipi terminé, Anne s’écarta un peu de la vulve et lapa une dernière fois dessus et autour comme un chien.
La chatte palpitait encore. Elle fit un petit baiser du bout des lèvres sur le clitoris et releva ensuite la tête. Elle passa ses deux mains en-dessous des genoux et leva les deux jambes en l’air pour poser les mollets sur ses épaules et pour replier les jambes sur le ventre. Ainsi, Sandra montrait ses fesses bien écartées et son anus. Anne se pencha à nouveau pour gober l’anus et rentrer sa langue à l’intérieur. Elle pénétrait sur toute la longueur. Sandra se détendit et le conduit s’assouplit vraiment. Sandra prit ses jambes pour se tenir et poussa. Très vite, elle ressentit un étron qui descendait dans son intestin et qui allait sortir. Elle saisit d’une main le derrière de la tête d’Anne pour la plaquer à son cul et s’assurer que la jeune femme ne se déroberait pas. Elle sentit son anus s’écarter et expulsa lentement la grosse crotte dans la bouche bien accueillante de sa lécheuse. Anne sentit la matière envahir toute sa bouche et glisser directement dans sa gorge.
Elle avala rapidement, sans mâcher et mit dans les joues ce qu’elle ne pouvait pas manger. Sandra poussa encore une fois et une m e r d e plus petite prit le même chemin. Comme elle était recroquevillée sur elle-même, Sandra voyait bien le visage d’Anne plaqué sur son cul, les joues gonflées de sa m e r d e , qui avalait de façon saccadée de grosse quantité de matière chaude et odorante. Elle lâcha la tête de la jeune fille et la repoussa en posa une main sur le front. Anne avait encore beaucoup d’e x c r é m e n t s dans la bouche et mâchait pour avaler plus vite. Sandra regardait la jeune fille et avait un peu de mal à réaliser que cette fille était en train de manger tout son caca du matin. Quand elle vit Anne sortir sa langue brunâtre pour lécher le tour de ses lèvres, elle comprit que la jeune fille avait tout avalé.
- C’est bien, ma petite lécheuse. Tu as bien déjeuné ?
- Oui, Madame. C’était bon. C’était bien chaud et parfumé.
- Je ne veux pas que tu te laves les dents et que tu gardes mon odeur toute la journée en toi.
- Oui, Madame, je vous le promets.
- Va-t’en maintenant !
Anne sortit doucement, comme elle était arrivée, sans un regard pour Jonathan. Il la regarda sortir et se demanda comment une belle fille comme elle pouvait se soumettre ainsi au point de manger les déchets d’autres gens. Aussitôt une idée lui traversa l’esprit. Et si, à lui aussi, on demandait de faire pareil ? Que se passerait-il ? Il n’eût pas le temps de trouver la réponse. On sonna à la porte. Sandra se leva et ouvrit à Rose.
- J’viens chercher l’esclav, Maîtesse, pour faire ses besoins dehors.
- Oui, Rose tu peux le prendre.
- M’dame, si vous voulez plus ête embêtée, y-a-cas lui mette l’couche au derrière. C’est toujours p’opre et c’est ma g’ande sœur qui change.
- Tu crois que c’est possible, Rose ?
Oui, pas de p’oblème. C’est comme si c’était fait.
Rose détacha Jonathan et le tira par la laisse pour le lever. Il était frigorifié et courbatu. Son sexe était quasiment invisible dans la cage, même ses couilles étaient devenues minuscules. Il piétina derrière Rose qui le fit sortir par une porte qu’il ne connaissait pas. Ils se retrouvèrent tous les deux dans une sorte de jardin, clos de murs, d’une centaine de mètres au carré de surface. Jonathan, toujours nu mise à part sa cage sur le sexe, grelottait.
- C’est l’jadin des pipicaca. Tous les soumis font là. Dépêch-toi.
Rose retira la boucle de la s a n g le qui tenait le collier et poussa Jonathan par les épaules. Il trottina vers le centre du jardinet. Le sol était couvert de cailloux qui lui faisait mal aux pieds et de la terre apparaissait entre des touffes d’herbes jaunie. Des tas de crottes, plus ou moins sèches, jonchaient le sol. Il se mit accroupi comme une femme sous le regard amusé de Rose et fit pipi à travers la cage. La flaque d’urine coula en dessous de ses pieds, tellement il avait dû se retenir.
- La c’otte aussi !
Jonathan fut envahi de honte. Il était là, accroupi devant une femme qui le regardait en train de déféquer par terre. L’envie de se vider fut plus forte que ses pensées et il poussa pour vider ses intestins. De grosses m e r d e s sortirent de son cul et tombèrent au sol en tas. La femme le regardait toujours.
- Allez, c’est fini, r’viens maint’nant ! Ma g’and sœur t’lavera.
Il se remit debout et marcha vers la femme en essayant d’éviter le plus possible de marcher dans les tas de déjections. Rose le raccrocha et le tira pour le faire rentrer dans la maison. Ils se dirigèrent tout droit vers la salle de lavage. Elle le poussa dans le sas. Jonathan grelottait toujours, ses mamelons étaient grumeleux et ses tétines se dressaient toutes seules. La grosse noire apparut en ouvrant la porte.
- Tu sais que j’m’appelle Marguerite, pti’ blanc. Alors maintenant tu diras à chaque fois : « bonjou M’dam Marguerite, j’viens pour êt’e lavé » !
- Bonjour, Madame Marguerite, je viens pour être lavé.
La femme le tira en accrochant sa canne au collier. Elle le conduisit tout de suite au mur de lavage et commença le nettoyage au karcher. Jonathan grelottait de plus en plus et ses lèvres étaient un peu bleues. Marguerite le tira par la canne et le coucha sur la table de toilettage.
- On dirait qu’t’a froid mon lapin, j’avis t’rechauffer.
La femme prit dans un tiroir le décapeur thermique dont elle se servait pour coiffer les esclaves et appliqua le diffuseur en direction du corps. L’embout touchait presque la peau et à chaque passage, la peau commençait à rougir de façon importante. Elle dirigea le flux d’air chaud vers la cage qu’elle touchait avec l’embout. Jonathan sentit une brûlure rapidement et une odeur de chair brulée se rependit dans l’air de la pièce. L’homme se débattit pour échapper au traitement mais la grosse femme le tenait bien. Elle lui avait mis une main sur la bouche pour qu’il ne crie pas et pour tenir la tête coincée sur la table. Elle descendit le jet d’air chaud en dessous de la cage, juste sur le paquet de couilles. Elle resta un petit peu sans bouger la main et la peau rougit. Jonathan gémissait.
- On pourrait presqu’ les cuire un p’it peu, si on voulait !
- Mmmm, nonn s’il vous plait, Md’ammm, j’ai malll !
- J’comp’ends pas c’que t’dit mon chou. J’te sèche, t’inquiète, t’auras p’u froid.
Marguerite stoppa sa machine et admira son travail. Le corps de Jonathan était rouge de la tête aux pieds. À certains endroits plus que d’autres. La peau de ses couilles étaient brunes, sans doute légèrement brulées.
-Bon, maint’nant, purge des intestins, j’te mets la canule et tu t’vide dans le seau
L’opération de lavement dura plusieurs minutes au cours desquelles Jonathan se tordit dans tous les sens. Marguerite l’empêchait de se vider tout de suite et le faisait danser sur place en claquant des mains. Une fois qu’il fut propre dessus et dedans, la femme le conduisit vers une petite table recouverte de toile cirée rose.
- Monte la’d’ssus mon g’os bébé, j’vais t’langer !
La femme aida Jonathan à se coucher sur la table. Elle était assez petite et ses jambes tombaient à l’extérieur. Au-dessus, accrochées au plafond, pendaient deux câbles munis de mousquetons à leurs extrémités Elle accrocha deux bracelets aux chevilles, puis les relia aux mousquetons. En tirant sur les cordes, un système de poulie tirait les jambes de l’homme en l’air en les écartant. Le cul ouvert, Jonathan ne pouvait pas se soustraire aux opérations anales que déciderait de pratiquer sa tourmenteuse. Cela ne tarda pas. Elle lui enfonça sans ménagement son index dans l’anus jusqu’au bout. Elle recommença plusieurs fois et de plus en plus vite. Cela lui faisait mal et cela le brûlait. Son cul était encore vierge.
- Mais dis-don t’es enco’ pucelle on-dirait ! Va falloir qu’ta Maît’esse te fasse vit percer la rondelle !
Jonathan écoutait les remarques de la femme sans broncher. Il ne savait plus trop qui il était et ce qui lui arrivait. Il était dans un autre monde. Il vit la femme s’approcher avec une couche et un bidon muni d’une pipette. Elle passa d’abord de la crème sur son entrecuisse et ses couilles. Cela apaisa un peu la douleur de ses brûlures. Ensuite, munie du bidon, il la vit saupoudrer avec de grands gestes l’intérieur de ses fesses et son ventre. En tirant la langue, elle glissa la couche sur son cul, rangea la cage et les couilles dedans et referma les languettes.
- ça y-est, t’es p’ope ! Maint’nant faudra faire d’dans. J’te chang’rai tous les deux jours.
Pour terminer son toilettage, Marguerite lui raccrocha à ses lobes d’oreilles et à ses tétons de petites papillotes en papier de couleur. Elle lui passa du rouge à lèvres et du fond de teint sur les joues. Elle lui fit les cils et les arcades sourcilières avec un crayon noir. Comme la veille, elle sortit le scalpel de sa poche et enfonça la lame juste à côté du premier trait. Elle essuya le s a n g avec le doigt.
Sans rien dire, elle raccrocha la canne et tira dessus pour l’emmener vers le sas. Visiblement, elle n’avait pas le temps de se faire lécher aujourd’hui. Elle le poussa à l’intérieur. Il se retrouva dans le noir et attendit que Rose vienne lui ouvrir la porte. Une demi-heure plus tard, la porte s’ouvrit et Rose entra dans le réduit.
- Mets-toi à g’noux pt’it blanc, t’vas me lécher l’cul aujourd’hui !
Jonathan s’exécuta comme un robot. Il avait perdu toute volonté et l’obéissance à ce genre d’ordre lui paraissait presque normale maintenant. La femme se retourna et relava sa jupe. Son gros postérieur apparut. Elle ne portait pas de culotte et elle écarta aussitôt ses deux fesses pour présenter l’anus à la hauteur du visage de l’homme. Elle recula et lui colla sa rosette sur les lèvres. Jonathan sortit sa langue et la posa sur la chair brune. Cela sentait fort et de petites croutes restaient attachées tout autour du trou. Elle ne s’était pas essuyée lorsqu’elle était passée aux toilettes. Il lécha avec application tout l’entre cuisse et entra sa langue dans l’anus. Rose bougeait son bassin en ondulant pour se frotter à la langue lécheuse.
- Léch’ buien l’cul d’ta Maît’esse Rose, mon gamin !
Jonathan rentra la langue à l’intérieur en essayant d’aller le plus loin possible dans le conduit. Il percevait un peu d’amertume sur sa langue. Son nez s’enfonçait dans les chairs molles des fesses. C’était doux et chaud et, finalement, pas trop désagréable. Il s’habituait tout doucement à ce genre de situation et il ne trouvait plus anormal que l’on puisse l’utiliser pour faire toutes ces choses. Depuis deux jours, il avait dû sucer des sexes et boire tous les jus qui en sortaient.
- Allez, fini ! T’vas m’donner envie d’faire caca.
Rose le repoussa, se redressa en se retournant pour l’accrocher et l’emmener dans le couloir. Il la suivit sans broncher, comme un automate. Il avait honte de lui. Il n’espérait qu’une chose, ne pas croiser quelqu’un sur le chemin de la chambre. Il se sentait complètement dégradé, nu, en couche et des papillotes de couleur accrochées un peu partout. Rose frappa à la porte de la chambre. Jonathan baissa la tête. Sandra ouvrit. Elle les fit rentrer.
- J’vous ramène l’esclav, Maît’esse. L’est prop ! Ma g’and sœur a mis la couche. Z’etes tranquille maint’nant.
Sandra prit la main de son mari et lui souleva le bras en l’air pour lui faire effectuer un pas de danse en tournant sur lui-même et se moquer de lui.
- Ho, le beau bébé ! Il est mignon, comme ça. Il va faire ses besoins dans la couche pour ne pas embêter sa Maîtresse. Qu’il est gentil !
Rose et Sandra riaient de tout cœur en se tenant le ventre.
- On devrait les avoir tous comme ça, nos maris. À nos pieds et ridicules.
Rose sortit et Sandra raccrocha son mari à son anneau sans prononcer un mot. Comme s’il n’était pas là, elle poursuivit son maquillage dans la salle de bain. Elle était habillée de son peignoir en satin et ne portait rien en dessous. Quand elle réapparut, Jonathan admira sa femme. Elle lui faisait envie. Elle était belle et il sentit son sexe débuter une érection malgré sa couche et la cage. Elle dénoua la ceinture de son vêtement et le laissa tomber au sol. Elle se redressa, complètement nue, les seins pointant fièrement à l’horizontal. Elle avait épilé le « mont de venus » et le pourtour de la vulve. Ainsi, elle ressemblait à une femme-e n f a n t . Jonathan la dévorait des yeux et elle le remarqua.
- Alors, petit cochon, on mate en cachette ! De quel droit ? Tu bandes ?
- Oui, un peu, mais avec la cage je n’arrive pas.
- Encore heureux ! Je te l’interdis. Tu n’as plus le droit de te servir de ton truc. Je crois que je devrais te le faire enlever. Comme ça, plus de problème ! Je demanderai aux Maîtresses.
Jonathan baissa la tête. Il se rendait compte que sa femme irait jusqu’au bout de ses fantasmes désormais. Il ne pouvait plus rien faire. Il se laissa aller dans un état de fatalisme servile. Il accepterait tout ce qu’elle déciderait de faire.
Sandra choisit dans son armoire un ensemble string et soutien-gorge de soie rouge et noir très aguichant. Elle n’avait jamais porté ce genre de chose et elle avait acheté cet article juste avant de venir au Centre. Elle savait que cette tenue ne dénoterait pas là où elle allait. Une fois installée sur son corps, l’ensemble faisait ressortir les tetons de sa poitrine et la fente formée par les lèvres de sa vulve. Elle s’approcha de son mari.
- Alors, tu me trouves belle ? Tu bandes encore ?
- Non, Maitresse.
- C’est bien. Tout ça, ce n’est plus pour toi. Mon corps, je le garde pour de vrais hommes.
Tout en lui parlant, elle leva légèrement sa jambe et présenta son pieds à la hauteur de la bouche de l’homme prostré par terre. Elle avança son gros orteil entre ses lèvres et f o r ç a le passage. Il ouvrit sa bouche et laissa entrer l’orteil, puis l’ensemble des doigts de pieds. Elle f o r ç a davantage, presque à lui faire mal.
- Suce ! Passe ta langue entre les doigts ! Lèche comme un animal, tu n’es bon qu’à ça !
Sandra retira son pied et passa une petite jupe noire et un chemisier largement ouvert sur sa poitrine. Elle termina de s’habiller avec des escarpins brillants. Jonathan la vit se diriger vers la porte de la chambre et sortir sans lui adresser la parole. Il se mit en boule et sentit monter en lui une envie d’uriner. Il paniqua. Comment allait-il faire ? Il ne pouvait rien faire d’autre que d’attendre le retour de sa femme. Mais il savait que cela ne servirait à rien. Elle resterait sans doute insensible à son problème, au contraire. Il finit par se décider et se laissa aller. Il essaya de ne faire qu’un petit jet dans sa couche, mais comme il se retenait depuis longtemps, il ne put enrayer le long jet de pisse qui sortit de son sexe encagé et qui remplit la couche lentement. Il ressentit une douce chaleur qui envahit tout son entrecuisse et même le bas de son ventre. Il se sentit sale et honteux. On allait voir qu’il avait fait pipi dans sa couche comme un bébé et cela le rendait malade et ressentait au plus profond de lui l’état de déchéance dans lequel il était tombé.
Sandra laissa son mari dans la chambre solidement accroché à son anneau et se dirigea vers l’accueil. Elle avait envie de revoir Jennifer. Elle voulait sentir à nouveau son parfum et lover son visage dans son cou. La jeune femme l’attirait beaucoup et elle se souvenait du baiser qu’elle lui avait donné. Elle pénétra dans le hall et aperçut Jennifer derrière la banque d’accueil. Elle admira la jeune femme avec sa longue chevelure blonde qui ondulait en vague sur son dos. Elle portait une minijupe en cuir et un bustier de coton très échancré sur le dos.
Quand elle vit Sandra, elle sourit aussitôt. Elle se leva et se figea appuyée au bureau. Sandra s’approcha, passa derrière la banque et se colla doucement à ce corps qui l’attendait. La jeune femme ferma les yeux quand Sandra posa ses lèvres sur les siennes. Son parfum l’envouta aussitôt. Leurs langues se nouèrent. Jennifer passa sa main sur les fesses de Sandra et glissa ses doigts sous sa jupe en direction de son bas ventre. Elle était déjà toute mouillée entre les cuisses et son string pénétrait entre les deux grandes lèvres de la vulve. Cela fit gémir Jennifer qui répondit à cette invitation du corps de Sandra par un baiser encore plus fougueux. Elle écarta sa mâchoire encore davantage, comme pour dévorer sa partenaire, et sa langue s’engouffra le plus loin possible pour prendre possession de cette bouche qui s’offrait.
Sandra sentit son corps s’amollir et elle se laissa aller dans les bras de la jeune femme. Un doigt venait de la pénétrer et son contact sur son clitoris lui fit perdre toute notion de temps et d’espace. Elle se laissait fouillée son vagin et sa bouche dans la plus totale indiscrétion, au milieu de la salle d’accueil, sans mesurer le risque de se voir surprendre. Puis vint le plaisir, foudroyant, qui lui fit perdre l’équilibre. Jennifer la retint et l’étendit sur son bureau. Elle se pencha sur son visage et lui donna un petit baiser sur le front.
- Je t’adore Sandra, je suis contente de te connaître et de te savoir au Centre. Tu es belle et intelligente, tu mérites de recevoir des plaisirs que ton mari ne t’a jamais accordé. Et j’aime aussi savoir que je ne te suis pas indifférente !
Sandra reprenait ses esprits lentement et les paroles douces de Jennifer la ravissaient. Depuis son entrée au Centre, elle vivait d’agréables moments avec les femmes, que cela soit avec Anne ou Jennifer. C’était pour elle une découverte et un ravissement. Elle se sentait aimée et portée par la douceur et le respect de la relation. Avec Anne, elle se sentait dominatrice. Elle savait que la jeune fille attendait de l’autorité de sa part et elle avait envie de la soumettre jusqu’au bout. Avec Jennifer, au-contraire, elle ressentait autre chose. Elle avait plutôt envie de se laisser conduire par elle et de goûter à des choses, encore inconnues. C’était un peu comme une grande sœur faisant découvrir à la petite fille des choses interdites et défendues, réservés aux grands…
- Moi, aussi Jennifer, je t’aime très fort, tu me plais beaucoup. J’ai de la chance d’être ici, avec toi.
- Sandra, si tu veux, je parlerais de toi à Claire. C’est ma Maîtresse et je ne lui cache rien. Je lui dirai que tu es gentille et douce avec moi. Je lui demanderai si elle n’aimerait pas te connaître un peu plus et partager des choses avec toi.
Sandra se sentit honorée que Jennifer lui fasse cette proposition et qu’elle l’invite à pénétrer son intimité avec sa Maîtresse. Elle avait envie d’aller plus loin dans sa relation avec Jennifer. De se retrouver en présence de Claire provoquait chez elle de la curiosité et de l’envie, mais aussi un peu d’anxiété. Quel serait son comportement face à une femme qui, visiblement, devait être dominatrice. Se sentirait-t’ elle soumise ? Au fond d’elle-même, elle savait que la réponse était sans doute positive et cela la remplissait d’inquiétude.
- Tu es gentille Jennifer, je veux bien que tu lui en parles, j’ai hâte de faire sa connaissance. Jennifer lui sourit, en la regardant un peu de côté, comme si, entre elles, s’instaurait déjà une connivence de situation. Elle lui tendit ensuite la main pour la relever et la raccompagner dans le hall. Elle lui fit un dernier petit baiser sur la bouche et l’informa que le programme de rééducation de son mari devait être conclu aujourd’hui et qu’un entretien avec les Maîtresses de l’Entrepôt était prévu dans une heure. Ce serait sans doute Diana et Lylie qui la recevraient. Sandra lui fit un petit signe de la main et s’éloigna pour regagner la chambre en attendant le rendez-vous. Elle se demandait ce qu’elle allait choisir pour « traiter » son mari.
Elle était sûre de ne plus vouloir revenir en arrière. Elle devait lui enlever tout désir de reprendre sa place. Au contraire, elle était bien décidée à lui faire payer ses excès d’avant et de le rabaisser définitivement. Elle prenait conscience que tout était possible. Elle se sentait capable d’aller le plus loin possible et de demander la M u t i l a t i o n . Elle voulait le punir et lui faire mal. Elle voulait prendre sa vie et le faire dépendre d’elle intégralement. Après cela, elle se sentirait plus libre et pourrait vivre sa vie. Ce qui allait arriver à son mari ne dépendait plus d’elle. Il avait lui aussi choisi et elle allait en profiter au maximum.
Quand elle rentra dans la chambre, Jonathan était toujours assis au sol. Elle le trouva pitoyable. Pour elle, il ne représentait plus qu’une charge. Elle s’accroupit devant lui, à quelques centimètres de son visage. Les deux genoux touchaient presque ses yeux. Elle s’adressa à lui comme une maîtresse de chien le ferait à son animal.
- Cet après-midi, je déciderai avec les gens du Centre ce qu’ils vont te faire. Tu es content ?
Jonathan ne savait pas ce qu’il devait répondre. Il ressentait une ironie à peine cachée dans le propos de sa femme et cela l’inquiétait.
- Oui, Maîtresse, je suis content.
- Tu me fais confiance ? Je choisirai ce qu’il y a de mieux pour toi !
Il comprit que le piège se refermait sur lui et qu’il n’avait déjà plus vraiment de pouvoir sur le cours des évènements. Sa vie lui échappait. Il avait offert à cette femme les commandes de son existence et il ne pouvait plus faire « marche arrière ». Il savait que ce qu’il allait dire était déterminant pour son avenir. Il ne pourrait plus rien arrêter après.
- Je vous fais confiance, Maîtresse. Faites ce qu’il vous plait pour moi.
Il s’était entendu prononcer ces mots mécaniquement comme dans un film dont il était spectateur. Le personnage lui faisait pitié et il se demandait comment on pouvait se laisser entraîner « comme ça » à faire des choses que personne n’accepterait dans une vie « normale ». Il se disait que cet homme devait être fou pour donner sa vie à quelqu’un sans rien en retour.
- C’est bien, je te remercie, tu as raison de me laisser faire. Tu ne seras pas déçu, je peux te l’assurer.
Sandra tendit le bras et pinça un de ses tétons en le tirant en avant. Elle le secoua.
- Ça, je veux les voir grandir. J’ai envie que tu sois femelle. Tu es d’accord ?
- Oui, Maitresse, moi aussi j’ai envie.
- Oui, Super ! Puisque tu me le demandes, je vais satisfaire tes désirs, crois-moi !
Et le piège se refermait. Jonathan eut le drôle de sentiment de ne plus avoir de pouvoir sur les évènements. Sa vie d’avant lui échappait. Il n’avait plus qu’à apprendre à se laisser porter par le pouvoir des autres et jouir de sa soumission totale. Sandra se releva et lui sourit. Elle allait parvenir à ses fins et profiter de la situation pour son seul plaisir. Une nouvelle vie s’offrait à elle aussi, faite de jouissance et de plaisir de domination. Elle serait reine et se vengerait sévèrement de l’arrogance du sexe dit « fort ».
- Allez, mets-toi debout, nous allons déjeuner. Après cela, j’aurai un entretien avec les Maîtresses de l’Entrepôt pour choisir ton programme de formation et de dressage.
Elle lui attacha sa laisse au cou et le tira sans ménagement. Ils arrivèrent devant la salle de restaurant. Il éprouvait toujours de la honte à se présenter en public, entièrement nu avec une couche et un numéro tracé sur sa peau, n°28.
En se dirigeant vers la salle restaurant, Sandra eut son attention attirée par un panneau accroché au mur du couloir. Un grand nombre de photos y étaient présentées montrant des corps masculins, nus pour la plupart, et montrant tous des particularités étonnantes. Au-dessus du tableau figurait une plaquette sur laquelle était écrite en lettre capitale : "Grand concours mensuel des pensionnaires les plus originaux de l'Entrepôt".
Sandra tenait court la laisse de son mari et prit le temps de détailler les photos. Elle resta songeuse, sous l'emprise d'une sourde excitation qu'elle sentait naître dans son ventre. Jonathan, lui aussi, regardait de biais les photos, totalement ahuris par ce qu'il voyait. Chaque photo était numérotée.
Il y avait de nombreuses images de sexes masculins appareillés de toutes les façons possibles, très souvent percés, troués, distendus ou même amputés de quelques morceaux. Il y avait aussi toute une collection d'images de tatouages, tous très surprenants. Un corps était entièrement tatoué d'écailles de poisson sur fond bleu jusqu'à la tête. Les contours de deux branchies s'enroulaient autour du cou et sous le menton. Et pour finir, le dessin de la tête du poisson s'étendait sur l'ensemble du visage jusque sur le crâne intégralement rasé, lui aussi d'une belle couleur bleu argenté.
Un autre corps était totalement recouvert de dessin de pénis de toutes les tailles, y compris le visage dont les lèvres figuraient l'extrémité d'un gland en érection.
Ce qui troubla le plus Sandra, C'est l'image d'un homme entièrement tatoué par une peau de lézard. Le corps était vert, seuls le sexe, le cul et la bouche étaient colorés d'un rouge vif. La langue avait même été découpée dans la longueur par le milieu pour figurer une fourche. L'homme était couché au sol, les cuisses écartées et la bouche ouverte. Il ressemblait vraiment à un reptile.
Dans une boîte accrochée au bas du tableau étaient rassemblés des petits tickets sur lesquels figuraient des numéros et une mention d'explication. Il suffisait d'inscrire le chiffre de l'image jugée la plus originale et de glisser le papier dans une urne posée à proximité. Le pensionnaire le plus souvent choisi permettait à toutes celles qui l'avaient sélectionné de gagner un tatouage gratuit. Sandra choisit l'homme lézard et fit remplir le ticket par son mari. Après qu'il eut déposé le papier dans l'urne, elle tira la laisse et l'obligea à croiser son regard.
- Regarde bien ces hommes minables, je veux qu'un jour tu sois comme eux et comme ça, je gagnerai le concours.
Jonathan baissa la tête, effrayé par le ton employé par son épouse. Il prenait conscience petit à petit de sa détermination pour se venger du comportement qu'il avait eu par le passé et aussi de la perversité de sa compagne. Sandra le tira par la laisse.
- Allez, dépêche-toi, on va être en retard au restaurant. J'espère que Maryse sera là, j'aime ses histoires et tu avais l'air de bien t'entendre avec son petit soumis, n'est-ce pas?
- Oui, ma chérie, je le trouve gentil. Heuuu, pardon, Maîtresse
- Je vois que les vieilles habitudes reviennent vite! Ne m'appelle plus comme ça. Tu n'en as plus le droit. Je ne suis plus " ta chérie" et tu es mon soumis maintenant, rien d'autre.
En présence d'autres personnes, je t'interdis de parler. Quand tu t'adresseras à moi, tu diras "ma Princesse" et tu me vouvoieras. Jonathan avait du mal à réaliser, il ne reconnaissait plus son épouse. Il se résigna à obéir à celle qui désormais dirigeait sa vie.
-
Oui, ma Princesse.
-
C'est bien. Quand on sera avec Maryse, je veux que tu te comportes avec son soumis comme un bon toutou. J'ai envie de lui faire plaisir. Tu iras lui renifler le derrière et ses parties et tu lui suceras son pénis.
-
Oui, ma Princesse, je ferai tout ce que vous voulez.
Sandra tira durement sur la laisse mais Jonathan ne réagit pas immédiatement et elle dû tirer une seconde fois plus fortement. Comme ils poursuivaient leur chemin vers la salle de restaurant, Sandra regarda son mari méchamment.
- Il faudra que je t'achète un collier étrangleur, tu n'es pas assez docile en laisse, tu t'en rends compte?
- Oui, ma Princesse, je vous remercie pour votre patience.
Sandra reconnu tout de suite Maryse, la Maîtresse du jeune homme avec qui elle avait déjeuné la veille. Elle était au fond de la salle, son esclave attaché à la table et discutait avec une autre femme. Sandra se dirigea vers elles car il restait une place. L’autre femme avait attaché un esclave, couché à ses pieds.
- Bonjour mesdames, vous permettez que je m’assoie ?
- Ha, bonjour Sandra, asseyez-vous bien sûr !
Maryse la présenta à sa voisine, en lui indiquant que Sandra était une nouvelle cliente du Centre et qu’elle avait amené son mari pour son dressage et sa transformation en esclave.
- Bonsoir, je m’appelle Lucie et le truc, par terre, c’est mon ancien mari. Je l’ai amené ici le jour de notre vingtième anniversaire de mariage. Je l’ai laissé un mois pour le traitement. Il m’avait demandé ce dont j’avais envie comme cadeau. Je lui ai répondu que s’il m’aimait vraiment, il devait me faire don de son corps et de son âme jusqu’à la fin de ses jours. Je lui ai dit aussi que s’il voulait rester avec moi, il fallait l’empêcher de me tromper avec une femme plus jeune. Il a été d’accord. Il a toujours été un peu faible.
La femme désignait l’homme accroché à la table par le cou avec une chaîne. Il avait la tête dissimulé par une cagoule noire en caoutchouc dans laquelle un trou avait été percé au niveau de la bouche. Sandra remarqua tout de suite l’absence de couilles en dessous de la verge. Celle-ci était fixée dans un tuyau de métal doré d’un diamètre de trois centimètres tout au plus. Le gland ressortait au bout, gonflé par la pression du cylindre. Un anneau traversait les deux lèvres et solidarisait le tout avec le tuyau, l’empêchant ainsi de descendre à l’intérieur. Il était nu et une chaînette en métal, accrochée à deux gros anneaux de sein, reliait sa poitrine à son étui pénien. Son pénis demeurait ainsi à l’horizontal en permanence.
-
Pourquoi, lui avez-vous caché sa tête avec la cagoule ?
-
Parce que je n’ai plus envie de le voir. Cela fait deux ans maintenant que je ne l’ai plus regardé. Je lui donne à manger par le trou et je l’amène ici toutes les semaines pour le lavage. J’ai acheté un forfait pour un entretien régulier. Il n’a pas le droit de toucher son corps.
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Vous l’avez fait opérer ici ?
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Oui, bien sûr. Il a été châtré au bout de trois jours. Le chirurgien était de passage et je me suis décidé assez vite. En fait, je savais déjà ce que je voulais avant de l’amener ici. Lui ne se doutait de rien avant d’être là. Le soir de l’opération, on m’a donné les deux testicules dans un petit sac en plastique transparent. C’était étrange de voir ces choses comme ça, comme une marchandise. Mon mari était couché. Je lui ai présenté le sac à hauteur de ses yeux pour qu’il voit bien ses boules coupées. Il les a regardés en se demandant si c’était réel. J’ai ris en secouant le sac et en me moquant de lui. Je lui ai dit que c’était fini pour lui, qu’il n’était plus un vrai homme.
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Il a eu mal ?
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Oui, bien sûr ! Je n’ai pas voulu qu’on l’anesthésie. Il devait subir sa castration comme nous les femmes supportons un accouchement. C’était rigolo, j’étais à côté de lui quand le toubib découpait. Cela faisait un petit bruit de ciseaux. Il s’agrippait aux barreaux de la table et on lui avait mis un tissu dans la bouche pour qu’il morde dedans. On entendait juste des petits cris étouffés. Ce que j’ai le plus aimé, c’est le moment où le chirurgien sortait la boule de sa sacoche entre deux doigts et la déposait dans une soucoupe. Une fois les bourses retirées, le pénis pendouillait, inutile, en bas du ventre. Jérôme, l’infirmier, en profita pour lui fixer son tuyau de métal autour de sa verge. Il referma un tuyau ouvert sur le côté et souda le métal sur toute la longueur. Mon mari s’est tortillé un peu à cause de la chaleur émise par la soudure, mais je lui ai dit qu’il fallait souffrir pour être beau ! J’ai donné les deux couilles en cuisine et le Chef les a préparées tout de suite pour le dîner. Elles ont été servies le soir avec une sauce au vin et mon mari a du tout manger sous les applaudissements des femmes présentes en salle. C’était une belle soirée. C’était intéressant de le voir mâcher et avaler ses coucougnettes.
Sandra écoutait ce récit avec attention. Elle sentait de l’humidité entre ses cuisses. La femme lui faisait envie et elle en était un peu jalouse. Elle se jura qu’elle aussi saurait traiter son esclave comme il se doit.
Kevin se présenta à leur table, nu, avec des clochettes accrochées à ses bourses et à ses seins. Les femmes se moquèrent de lui. Toutes les trois bénéficiaient de ses services assez souvent. Sandra s’aperçut que son dos était strié de plusieurs grandes balafres bleuies. Il s’agissait sans doute de la punition qu’il avait dû recevoir grâce à son évaluation de performance. Elle le prit par le coude pour qu’il se retourne et montre bien ses balafres. Puis elle lui sourit en guise de connivence. Il baissa la tête. Il prit leur commande. Les trois femmes choisirent des asperges en entrée ainsi qu’un demi-poulet/frites, et pour leurs mâles une ration de croquette. Puis il disparut en cuisine. Huguette vint les saluer et les informa qu’un spectacle aurait lieu le soir même et qu’une présentation d’esclave serait organisée au profit des spectatrices invitées pour l’occasion.
Chaque mois, l’Entrepôt invitait une vingtaine de femmes intéressées par l’activité du Centre. Elles découvraient ainsi les dernières réalisations et pouvaient se faire une opinion sur les traitements. Certaines venaient avec leurs conjoints ou amis pour leur faire prendre conscience de ce qu’elles envisageaient pour eux. Huguette demanda à Sandra et à Maryse leur autorisation pour que le Centre exhibe leurs mâles. Elles se regardèrent et acceptèrent tout de suite. Elles étaient très fières d’avoir été choisies parmi toutes les clientes.
- Mesdames, nous viendrons chercher vos mâles cet après-midi pour les toiletter avant la présentation. Il faut qu’ils soient le plus mignon possible et qu’ils donnent envie.
Les trois femmes se servirent à boire et échangèrent quelques mots ensemble, tout en regardant autour d’elles les autres convives. Plusieurs tables étaient occupées. Toutes par des femmes. Certaines avaient attaché leurs esclaves à leurs pieds, d’autres étaient venues seules. Juste à côté d’elles se tenaient deux femmes qui semblaient âgées d’une soixantaine d’année. La première était accompagnée d’un homme très petit et obèse, beaucoup plus jeune. Il ressemblait à un petit « bouddha ». Assis par terre, nu, des bourrelets de chair grasse entouraient son ventre. De petits seins étaient posés dessus. Son corps était intégralement imberbe. Sandra remarqua qu’il avait été castré et que seul un petit tuyau de peau flasque sortait de son ventre, terminé par un gland atrophié.
Sa voisine avait attaché à ses pieds un homme assez âgé, nu, lui aussi. Il avait été également émasculé mais, plus encore, il n’avait plus de verge, juste un petit tuyau en caoutchouc qui sortait du bas-ventre et terminé par un petit robinet en plastique. Couché par terre, il se tenait étrangement sur le côté. En fait, il ne pouvait s’asseoir car un appareil était fixé sur ses fesses, tenu par une ceinture de cuir. Les deux extrémités de la ceinture avait été soudées rendant impossible son retrait. Cela ressemblait à un attelage de remorque pour voiture. Une platine carrée en acier de dix centimètres de côté écartait ses deux fesses et un gros tuyau rigide en sortait depuis son milieu.
Au bout, l’orifice était fermé d’un bouchon muni d’un cadenas. Ses seins étaient troués et de gros anneaux en acier de 5 cm de diamètre traversaient les mamelons de part en part. Les anneaux étaient énormes et ils pendaient sur le ventre, le trou était distendu et c’était très laid. Un tatouage à l’encre rouge lui barrait le ventre sous la forme d’une inscription en lettres majuscules : P E D O P H I L E.
Sandra salua les femmes et voulu assouvir sa curiosité.
- Bonjours Mesdames. Vous avez des choses intéressantes à vos pieds. C’est vous qui les avez transformées ?
Une d’elles, qui possédait le « bouddha », lui sourit et la salua à son tour. En se penchant un peu, comme pour lui révéler un secret, elle lui donna quelques informations qui visiblement lui tenaient beaucoup à cœur car elle prenait un plaisir évident à raconter les choses :
La fin de la suite 4 bientôt
Aucune limite à la déchéance, depuis l'ingestion d'excréments jusqu'à la castration. C'est trash! J'adore. Par contre, comme souvent avec ce genre de littérature, ça tourne vite à un inventaire de trucs cochons... du coup, y'a plus vraiment d'histoire. | |
Une suite dans la ligne des autres toujours aussi passionnant avec ce côté hard 😍 et qui semble sans limite j adore je suis impatiente de savoir ce qui sera décidé pour Jonathan ❓️ j espère qu'il sera femelle et servira de multiples hommes 🤭. Merci | |
Merci Emiliebaby. Je suis content que l'histoire de Jonathan te plaise et que tu partages ses sentiments dans son processus de transformation et de régression. Qui n'est pas fini...😜 | |
Merci pour cette histoire. je me rends compte que je partage ce désir de régression très profondément et depuis l'adolescence. Donc depuis plus d'un demi siècle. je me réjouis de découvrir la suite. |
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